Étude initiée par Zéro Déchet Troyes et soutenue et financée par l’Union européenne, Communities For Climate (C4C). Merci d’être attentif à la version.
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Suite à la visio conférence avec l’équipe de C4C de septembre 2024, le présent projet n’a pas été retenu par C4C. Kastriot (ZD3) et Thomas (consultant C4C) reprennent l’organisation du projet avec pour objectif l’organisation du déplacement à Besançon début avril 2025. José continue sur les aspects contenus et opérationnels de l’étude.
Le présent document restera accessible quelques mois pour d’éventuelles inspirations ou copies
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Following the video conference with the C4C team in September 2024, this project was not selected by C4C. Kastriot (ZD3) and Thomas (C4C consultant) are taking over the project organization with the objective of organizing the trip to Besançon in early April 2025. José continues to work on the content and operational aspects of the study.
This document will remain accessible for a few months for potential inspiration or copying
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Henri-Frédéric Amiel (1821-1881). Philosophe suisse.*
<aside> 💡 Un tableau de synthèse des propositions de tâches est proposé en annexe 0. Lien vers l’annexe 0.
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<aside> ✅ Pourquoi ce projet. Le Haut Conseil au Climat a indiqué, dans son rapport de 2023, que les déchets étaient à l’origine de l’émission de 4 % des gaz à effet de serre. Parmi les nombreuses actions à mener vers le zéro déchet, le tri à la source des biodéchets et la lutte pour le gaspillage alimentaire a un impact important. Il pourrait réduire jusqu’à environ 30 % de notre poubelle grise (appelé aussi les OMR pour Ordures Ménagères Résiduelles) quotidienne de nos concitoyennes et concitoyens. Ces biodéchets sont composés, entre autres, des Biodéchets de Cuisine et de Table, des Déchets Verts de Parcs et Jardins, du Gaspillage alimentaire. Ces biodéchets terminent donc, très majoritairement, en incinérateur dans notre département. En plus des émissions de CO2, c’est aussi de la matière organique qui ne retourne pas au sol, réduisant ainsi aussi la biodiversité. La récente loi AGEC encourage les institutionnels, particulièrement les intercommunalités, à engager des actions dans le sens du tri à la source des biodéchets. Des composteurs individuels ont été distribués et des composteurs partagés ont été installés çà et là. Ainsi, dans ma commune de Saint-André-les-Vergers, un composteur de 800 l. a été installé pour… plus de 3 000 personnes. Abondamment commenté dans les médias municipaux et locaux, ce composteur nous apparaît plutôt comme un « composteur vitrine » ou un « composteur alibi ». Note : Ma commune est cité uniquement comme un exemple parmi bien d’autres dans la même situation. Les communications sur les composteurs individuels et collectifs ne font, en général, jamais état de la couverture réelle du tri à la source des biodéchets sur notre territoire. Laissant ainsi l’impression que l’intercommunalité a réglé l’ambition de la loi AGEC (Anti-Gaspillage et Économie Circulaire) avec ces quelques composteurs.
La présente étude à pour but de mesurer la couverture réelle du tri à la source des biodéchets, de proposer la mise en place d’outils en open data qui permettront ce suivi dans le temps, et, surtout, de faciliter le déploiement en masse du tri à la source des biodéchets sur notre territoire, auprès des citoyens et des citoyennes ainsi que des institutionnels. Grâce à des relations au niveau national et européen, toutes les solutions opérationnelles possibles pour atteindre cet objectif seront exposés.
Les intérêts seront mis en avant en terme de, selon votre ordre de préférence : a) Réduction des charges, b) Réduction des émissions de gaz à effet de serre, c) Retour à la terre de la matière organique, et aussi, pourquoi pas d) du développement du « vivre ensemble » dans nos quartiers.
Cette présente étude n’est pas une étude à charge contre des élus, des entreprises, ni même des concitoyens. À l’opposé, en s’appuyant sur l’approche du « triangle de l’inaction », la présente étude à pour but de faciliter le travail collaboratif entre tous les acteurs et surtout, les « passages à l’acte ».
Ainsi, le présent projet ne sous-estime la résistance de nos concitoyennes et de nos concitoyens à changer leurs habitudes, à la difficulté à trouver des référents de composteurs partagés pour leur déploiement en milieux d’habitat collectif. Ainsi que des problématiques concrètes comme la fourniture de matière sèche et la recherche d’exutoire du compost. Ces défis feront partie intégrante du présent projet.
La présent étude, centrée sur biodéchets, tentera de prendre en compte l’ensemble des flux de biodéchets, de la restauration collective au gaspillage alimentaire dans la distribution, en passant pas les biodéchets des industries agro-alimentaires et autres flux avec fort impact à découvrir.
Un voyage découverte à Besançon a été mis au programme de ce projet. Sur ce territoire, le syndical local, le SYBERT, a réalisé, entre autres initiatives, un important déploiement de chalets de compostage. Les visites et les échanges prévus, pour les concitoyennes et la concitoyens intéressés de nos communauté, seront des sources d’inspiration pour notre étude.
Il nous apparaît que le tri à la source des biodéchets représente un excellent exemple d’économie circulaire. Nous espérons que la réussite dans ce projet pourra être à l’origine d’autres initiatives dans d’autres secteurs.
Zéro Déchet Troyes, José Relland (initiateur te coanimateur), juillet 2024.
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<aside> 💡 Ce projet a été rendu possible grâce à la proposition d’Appel à Projet de l’Union Européenne, par l’entité « Communities For Climate (C4C) », merci Kastriot, que Zéro Déchet Troyes à gagner. Deux entités locales du domaine ont été sollicitées préalablement sollicitées, elles n’ont pas souhaité donner suite. Le soutien et l’accompagnement financier du projet par C4C se décompose en deux parties :
Le présent document se propose d’organiser ce projet. Pour plus de détails sur l’Appel à Projet, voir en annexe.
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