<aside>
<img src="/icons/light-bulb_gray.svg" alt="/icons/light-bulb_gray.svg" width="40px" />
Constat
- La France est le pays le plus taxé du monde : chaque euro gagné est amputé par des impôts, charges et taxes parmi les plus lourds au monde. Résultat : le travail est découragé, le business freiné, l’investissement repoussé ailleurs.
- Dette publique : 112 % du PIB (contre 85 % en moyenne dans l’UE).
- Dépenses publiques : 57,1 % du PIB (contre 49,6 % dans la zone euro).
- Prélèvements obligatoires : 45,4 % du PIB — record mondial hors Scandinavie.
- Complexité fiscale : plus de 460 niches recensées.
- Croissance : 0,6 % seulement prévue en 2025 (Commission européenne).
- Le système actuel punit le travail, étouffe l’entreprise, entretient la dépendance aux subventions.
- Les rentes corporatistes (taxis, notaires, pharmaciens, professions réglementées) empêchent la concurrence et bloquent l’innovation.
- L’État dépense sans compter, creusant une dette qui hypothèque l’avenir.
- La fiscalité est devenue un labyrinthe qui sert les initiés uniquement.
- Résultat : la France attire moins d’investissements, perd des talents et décroche dans la compétition mondiale.
- Par ailleurs, les Français n’ont plus confiance dans leurs élus, qui ne sont pas responsables de ce Responsabilité des élus (séparée du ministère de l’Intérieur)
</aside>
<aside>
<img src="/icons/light-bulb_gray.svg" alt="/icons/light-bulb_gray.svg" width="40px" />
Solutions
Travailler doit payer plus que ne rien faire
- Constat
- La France reste l’un des pays où le temps de travail annuel effectif est le plus bas d’Europe, mais avec une charge fiscale et sociale parmi les plus lourdes.
- Beaucoup de salariés veulent travailler davantage pour gagner plus, mais se heurtent à un système qui décourage l’effort : impôts, charges et plafonds font que « travailler plus » rapporte trop peu.
- À l’inverse, l’oisiveté ou la dépendance aux aides peut sembler plus « rentable » que l’effort. C’est un signal délétère pour la valeur travail.
- Les meilleurs pays en la matière :
- Allemagne : forte culture du temps de travail volontaire et flexibilité encadrée.
- Danemark : médecine du travail intégrée à la prévention globale de santé publique.
- Royaume-Uni : défiscalisation claire des heures supplémentaires, largement utilisée.
- Nos mesures
- Temps de travail légal porté à 50h/semaine : liberté donnée aux entreprises et aux salariés volontaires, sans obligation.
- Protection renforcée : au-delà de 35h/semaine, chaque salarié bénéficie d’une visite obligatoire du médecin du travail tous les 6 mois.
- Suppression des visites médicales inutiles : concentrer la médecine du travail sur le suivi réel des travailleurs.
- Revalorisation du rôle du médecin du travail : formation, moyens et reconnaissance pour en faire un acteur central de la santé publique.
- Heures supplémentaires défiscalisées et sans charges dès 2027 : 100 % du gain revient au salarié, aucun coût supplémentaire pour l’employeur.
- Baisse ciblée des charges salariales : davantage de net à revenu égal, sans coût supplémentaire pour l’employeur.
- Réponses aux objections
-
« Augmenter le temps de travail légal, c’est un retour en arrière. »
→ Faux : c’est une liberté supplémentaire, pas une obligation. Les 35h restent une base, mais ceux qui veulent et peuvent travailler plus doivent pouvoir le faire sans être pénalisés.
-
« Les salariés seront surexploités. »
→ La protection médicale renforcée et le volontariat garantissent que cette liberté ne se transforme pas en contrainte.
-
« Cela va coûter cher à l’État. »
→ La défiscalisation des heures supplémentaires est compensée par l’augmentation de l’activité, donc des recettes fiscales globales.
Simplification de l’impôt et suppression des niches
- Constat :
- Aujourd’hui, le système fiscal français compte plus de 400 niches fiscales.
- Résultat : seuls les plus riches (qui sont souvent les mieux conseillés) en profitent.
- Les ménages et les PME, eux, subissent un impôt illisible et instable.
- Nos mesures :
- Portail fiscal unique, en ligne, avec calculateur en temps réel des impôts dus.
- Utilisation de l’IA pour pré-remplir à 100 % les déclarations et détecter les fraudes complexes.
- Suppression progressive des niches fiscales injustes :
- Audit complet en 2026.
- Fermeture de 50 % des niches d’ici 2028.
- Un impôt qui tient sur une page :
- Barème clair et stable, lisible par tous.
- Fin des exceptions incompréhensibles et changeantes chaque année.
- Stabilité fiscale garantie 20 ans :
- Aucun nouvel impôt, aucune hausse de taux sans référendum.
- Sécurité pour les ménages comme pour les entreprises.
- Réponses aux objections :
- « Supprimer les niches, c’est tuer l’investissement et l’innovation. »
→ Non : seules les niches inefficaces ou détournées seront supprimées. Les incitations qui créent de la valeur (R&D, transition écologique, soutien aux PME) seront sanctuarisées.
- « La stabilité fiscale, c’est impossible. »
→ D’autres pays l’ont fait : la Suisse et l’Estonie ont montré qu’un cadre stable attire l’investissement et crée de la confiance. La France doit cesser de changer les règles chaque année.
- « Un impôt sur une page, c’est simpliste. »
→ C’est lisible. L’objectif n’est pas de cacher la complexité de l’économie, mais d’éviter que seuls les fiscalistes comprennent la loi. La transparence est la première justice.
« Un impôt clair est un impôt juste. La complexité, elle, est toujours payée par les plus faibles. »
Fin des impôts confiscatoires
- Constat
- En France, transmettre ou investir est trop souvent puni par l’impôt :
- Droits de succession : jusqu’à 45 % en ligne directe.
- Impôt sur la fortune (ex-ISF, devenu IFI) : taxe encore en vigueur sur l’immobilier, qui décourage l’investissement productif.
- Fiscalité du capital : l’épargne et l’investissement productif sont surtaxés par rapport à la consommation.
- Résultat :
- Les familles voient leur patrimoine amputé.
- Les entrepreneurs partent à l’étranger : la France est championne d’Europe de l’exil fiscal.
- Nos mesures :
- Suppression totale de l’IFI dès 2027 : pour remettre le capital au service de l’économie réelle.
- Droits de succession allégés massivement :
- Exonération en ligne directe jusqu’à 5 M€.
- Transmission facilitée pour les PME familiales et les agriculteurs.
- Flat tax à 20 % pérennisée et simplifiée, sans exception ni usine à gaz.
- Encouragement des donations de son vivant : abattement triplé pour aider ses enfants avant 40 ans.
- Réponses aux objections
- « Supprimer l’IFI, c’est un cadeau aux riches. »
→ Non : l’IFI ne rapporte que 1,8 Md€/an (moins de 0,5 % des recettes fiscales), mais coûte beaucoup plus en exils fiscaux et en capitaux productifs qui fuient le pays.
- « Exonérer les successions, c’est creuser les inégalités. »
→ Faux : la plupart des transmissions concernent des PME, des exploitations agricoles ou des patrimoines familiaux modestes au regard des seuils européens. L’exonération permet surtout de préserver l’emploi et le tissu économique local.
- « La flat tax, c’est l’injustice fiscale. »
→ Au contraire : elle rend le système lisible, compétitif et prévisible tout en évitant l’évasion. Ce qui nourrit l’économie profite ensuite aux recettes de l’État.
- « Les jeunes générations n’y gagnent rien. »
→ Si : l’encouragement massif aux donations de son vivant met le patrimoine au service des jeunes ménages pour accéder plus tôt au logement, à l’entrepreneuriat, à l’investissement.
« On ne bâtit pas un pays en punissant ceux qui transmettent et ceux qui investissent. »
Libéraliser le secteur de l’aide à domicile et des EHPAD
- Constat :
- Nos mesures :
</aside>