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Constat
- En France, une femme est tuée tous les 3 jours par son conjoint et 80 % subissent harcèlement ou violences sexistes dans l’espace public. Les dispositifs actuels sont trop lents et inefficaces : plaintes ignorées, agresseurs rarement écartés, inégalités persistantes jusque dans les salaires.
- Le harcèlement détruit des vies à l’école comme au travail, avec des sanctions trop lentes et invisibles.
- Les propriétaires restent moins protégés que les squatteurs : un retraité peut perdre sa maison, mais continuer à payer crédit et charges.
- Les mineurs sont utilisés comme chair à canon par les trafiquants, sans conséquence réelle pour eux ni pour leurs parents.
- Les pédophiles agissent quasi impunément : internet est devenu leur terrain de chasse, les sanctions sont lentes, les libérations anticipées sont incompréhensibles.
- Les multirécidivistes cumulent crimes et délits mais ne purgent qu’une peine unique, réduite en pratique, donnant un sentiment d’impunité.
- Même les pires terroristes et pédocriminels conservent un “droit à l’espérance” de libération imposé par la CEDH.
- Nos forces de l’ordre, dévouées mais sous-dotées, sont piégées dans la paperasse pendant que les rodéos urbains, les incivilités et les émeutes pourrissent le quotidien. Les forces de l’ordre sont en sous-effectif sur le terrain, alors que les manifestations, attroupements violents et émeutes se multiplient. Aujourd’hui, les policiers doivent souvent gérer à l’aveugle : impossible de suivre en temps réel les déplacements des groupes violents ou des individus dangereux. Résultat : perte de temps, dispersion des effectifs, risques accrus pour les forces et pour les citoyens.
- L’immigration est hors de contrôle : OQTF non exécutées, regroupement familial massif, fraude sociale, travailleurs utiles sans papiers exploités versus profiteurs installés dans l’assistanat.
- Le taux d’homicide volontaire est d’environ 1,6 pour 100 000 habitants en France, soit 3 fois plus qu’à Singapour (0,5) qui est un des pays les plus sûrs.
- L’intégration républicaine connaît des échecs criants : chômage élevé des personnes d’origine immigrée (12,3 % contre 7,9 % pour les natifs), enclaves urbaines reléguées, communautarisme et montée de l’islamisme radical chez une minorité.
- Les émeutes de 2005 et de 2023 ont montré périodiquement la fracture entre une partie de la jeunesse des banlieues et la Nation, aboutissant à des violences inédites (3 651 interpellations en 2023).
- L’immigration demeure mal maîtrisée : la France accueille chaque année des dizaines de milliers d’étrangers pour motif familial (41 % des entrées depuis 2005) et très peu pour motif économique (10 %), d’où une difficulté d’intégration sur le marché du travail.
- Enfin, la majorité silencieuse éprouve un sentiment d’abandon dans certaines zones où les valeurs républicaines reculent (incivilités, port de signes religieux illégaux, etc.).
Comparatifs internationaux :
- Singapour est un modèle de sécurité publique avec un des taux de criminalité les plus bas au monde, obtenu par une tolérance zéro envers la délinquance et un usage intelligent des technologies de surveillance.
- New York (années 1990-2000) a démontré qu’une stratégie de « broken windows » (lutte contre toutes les infractions, mêmes mineures) peut faire chuter fortement la criminalité urbaine – nous transposerons cette approche adaptée au contexte français.
- En matière d’intégration, plusieurs pays offrent des exemples :
- Le Canada et l’Australie imposent aux nouveaux arrivants un contrat clair sur les valeurs et la langue, tout en facilitant leur insertion professionnelle, ce qui aboutit à une cohésion sociale enviable dans ces pays multiculturels.
- Le Danemark a mis en place des cours de civisme et langue obligatoires pour les immigrés couplés à un examen exigeant – une politique qui, bien que stricte, a amélioré l’emploi des immigrés.
- Israël – pays mêlant de multiples vagues migratoires – a forgé une identité nationale forte grâce à un service civique/militaire universel qui soude sa jeunesse.
- Enfin, Singapour encore se distingue par sa politique d’intégration urbaine : quotas ethniques dans les logements publics pour éviter les ghettos et programmes communautaires promouvant l’interconnaissance entre groupes – autant d’idées dont nous pourrions nous inspirer.
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Solutions
Sécurité et droits des femmes : tolérance zéro
- Constat :
- En France, une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son conjoint (source : Ministère Intérieur).
- 80 % des femmes déclarent avoir subi du harcèlement sexiste ou sexuel dans l’espace public (source : Haut Conseil à l’Égalité).
- Malgré les plans successifs, les procédures sont trop lentes, les condamnations trop rares, et les dispositifs de protection mal appliqués.
- Nos mesures :
- Réponse immédiate :
- Dépôt de plainte facilité (plateforme en ligne + brigades mobiles spécialisées).
- Éloignement automatique de l’agresseur dès la première plainte crédible (bracelet électronique obligatoire).
- Justice rapide :
- Délai maximum de 72h entre plainte et décision de protection (ordonnance de mise à l’écart).
- Peines planchers automatiques pour violences conjugales et sexuelles.
- Surveillance renforcée :
- Brigades spécialisées “sécurité des femmes” dans les transports et lieux publics sensibles.
- IA de signalement anonyme intégrée dans l’application Sécurité (alertes en direct aux forces proches).
- Économie & égalité réelle :
- Contrôle automatique par l’URSSAF des écarts salariaux.
- Sanction immédiate pour toute entreprise qui ne respecte pas l’égalité → amende équivalente au montant volé aux salariées.
- Objectif 2030 :
- Zéro féminicide sans réaction policière/judiciaire préalable.
- 100 % des plaintes traitées sous 72h.
- Écart salarial ramené à zéro sur les postes comparables.
“Les droits des femmes ne sont pas une option ni un slogan. Avec nous : 72h pour protéger, 0 % d’écart de salaire, et zéro complaisance pour les agresseurs.”
Harcèlement : tolérance zéro
- Constat :
- 1 enfant sur 10 est victime de harcèlement scolaire chaque année.
- Le cyberharcèlement touche tous les âges : 20 % des ados en sont victimes.
- Dans les entreprises, le harcèlement moral et sexuel reste un fléau caché : peur de parler, procédures lentes.
- Aujourd’hui, l’agresseur a encore trop souvent le statut du “fort”, celui qui impose sa loi. Les sanctions existent, mais elles sont peu visibles, lentes, rarement dissuasives. Les victimes se taisent, les témoins détournent le regard, les institutions minimisent. Résultat : le harceleur continue à être craint, voire respecté, alors qu’il devrait être perçu comme ce qu’il est : un minable.
- Nos mesures :
- Ringardiser le harceleur.
- Campagnes nationales avec codes du luxe : esthétiques haut de gamme, slogans cinglants.
- Message : “Harceler, c’est bas de gamme.”
- Associer le harcèlement à l’image du cheap, du loser social.
- Sanctions visibles & rapides.
- Harcèlement scolaire : exclusion immédiate + orientation obligatoire vers structures adaptées.
- Entreprise : tout cas avéré = inscription au casier judiciaire + interdiction temporaire d’encadrer.
- Inverser la peur.
- Ligne directe confidentielle (élèves, salariés, citoyens).
- Protection légale des lanceurs d’alerte dans les établissements et entreprises.
- Renforcer la responsabilité des dirigeants (chef d’établissement, DRH) → sanctions s’ils couvrent.
- Éducation statutaire.
- À l’école : cours annuels “respect & réputation” → montrer que la vraie force est d’élever, pas d’écraser.
- Partenariats avec des grandes marques de luxe, sport, culture pour des campagnes anti-harcèlement : quand Dior, PSG ou Hermès disent que harceler est ringard, ça imprime.
- Justice express.
- Tribunaux spécialisés pour mineurs harceleurs.
- Délais maximum de 3 mois entre plainte et décision.
- Obligation de stage de sensibilisation (face aux victimes) pour toute personne condamnée.
- Objectifs 2030 :
- Réduire de 50 % le harcèlement scolaire et cyberharcèlement.
- 100 % des cas traités en moins de 3 mois.
- Faire basculer l’opinion : le harceleur n’est plus un “dur” → il est un ringard.
“Pendant trop longtemps, harceler a été vu comme un signe de force. Nous allons inverser ce rapport de statut : harceler devient ringard, cheap, bas de gamme. La vraie classe, c’est le respect. Et derrière cette transformation culturelle, il y aura des sanctions rapides et visibles. Le harceleur ne fera plus peur, il fera pitié.”
Squatteurs : restaurer la justice
- Constat :
- Depuis l’abrogation du délit de squat en 1994, la loi française protège plus les squatteurs que les propriétaires.
- Résultat : un propriétaire peut perdre son logement, tout en continuant de payer crédit et charges, sous peine de finir lui-même à la rue.
- En 2023, la loi Kasbarian-Bergé a été adoptée :
- Mais cette loi reste incomplète :
- On a inversé la logique de justice :
- La loi actuelle est un compromis : elle frappe plus fort en théorie, mais laisse subsister les failles qui ruinent des familles entières.
- Nos mesures :
“Kasbarian-Bergé a été un pas en avant, mais trop timide. Aujourd’hui encore, un squatteur a parfois plus de droits qu’un retraité qui a payé toute sa vie pour sa maison. Nous allons rétablir l’évidence : un logement appartient à son propriétaire. Point final.”
Sécurité renforcée partout