Groupe 1:

Composition (prénoms): Marc, Anne-Laure, Emma, Gilles, Alice, Adrien, Antoine, Thomas

1e partie: Narratif, Vision & Mission

Questions/clarifications

Marc : "mieux connaitre les actions en place sur les cantines"

Ressentis

Marc : "définition & raison raison d'être c'était bien"
Gilles : "ce qui m'étonne, c'est que TEC a démarré avec des gens qui sont arrivés sur le territoire, et qui revendiquent rapidement le territoire comme étant le leur" "comment ont-ils fait pour mobiliser un groupe en arrivant de l'extérieur ?"
Marc : "c'est la différence entre TEC & Sonorines (plus locales)"
Adrien : "l'humilité et les compétences font la différence, mais les envies étaient déjà présentes sur le territoire"
Antoine : "certaines envies sont déjà là mais elles sont empêchées, bloquées (il faut les réveiller)"
Alice : "TEC comme nom = impression de projet national, politique" "on est rentré dans l'ultra global, on peut directement rentrer par le local"
Adrien : "Valoriser le local, le déjà-là, c'est bien"
Antoine : "Au début, peur d'être en concurrence avec TEC par rapport aux tiers-lieux, mais après soulagement de constater qu'on peut être complémentaire, il y a déjà plein d'idées et surtout d'actions/concrétisations" "Rajouter le mot inspirant (sur l'aspect mise en valeur)" "Commencer par des petites actions toutes simples pour montrer que c'est possible, rapide, efficace"
Thomas : "Je comprends toujours pas ce qui est fait, combien de personnes, qui fait quoi, en combien de temps ? Manque d'aspect concret" "L'aspect macro m'a choqué, discours puérile, et c'était aussi très politique (le monde est comme ça, on veut qu'il soit comme ça, c'est comme ceci qu'on va le solutionner)" "Manque de concret sur la partie agricole (qui l'a fait, quelle phase a pris combien de temps, qui est TEC là-dedans, comment on était rémunéré)
Marc : "Pourtant, le projet d'éco-construction était très concret, j'ai participé à des groupes de discussion, c'est en cours pour se faire"
Alice : "Créer ensemble = ça sonne creux, vide" "Société du vivant, de quoi on parle" "Autogestion = clivant"
Anne-Laure : "Je trouve ça impersonnel, de qui on parle, 3 personnes, 20 personnes, c'est quoi leurs têtes... ? ça manque pour nourrir l'histoire, j'ai l'impression que ça parle d'élans individuels" "Entre appropriation et accueil, il faut articuler les 2 : il est arrivé sur le territoire, a rencontré telle personne, ont fait des choses ensemble."
Alice : "l'histoire personnelle c'est inclusif, ça embarque plus que les constats globaux"