Cela donne une baisse des sécrétions digestives (enzymes, bile, acide...) indispensables à une bonne digestion, et aux fonctions digestives (comme la vidange gastrique ou de la motilité).
Toute la digestion est impactée, et à terme s’en suit une prolifération de bactéries ou du candida albican par exemple.
Que ce soit par manque de T3 ou par une mauvaise pénétration de celle-ci dans les cellules.
Le même mécanisme de ralentissement des fonctions digestives s’opère.
Ce sont les deux causes profondes principales que je rencontre en consultation.
Ensuite, des “sous-causes” s’installent et seront dominantes d’un consultant à un autre: hypochlorhydrie, manque de bile, complexe moteur migrant défectueux, hypomotilité intestinale...
Et vient se greffer une hyperperméabilité intestinale, ou une gastrite à cause des proliférations qui agressent la muqueuse. Le stress chronique vient également accentuer cette hyperperméabilité par le mécanisme du cortisol.
Les réactivations de virus de l’herpès (EBV, simplex...) peuvent également ralentir les fibres nerveuses et entrainer le même mécanisme. C’est une théorie encore peu investiguée mais à prendre en considération.