Ça monte ça monte...

Cette année, le festival monte d'un cran. Encore.

Et comme l'a dit un vieux sage Africano-néerlandais : "plus c'est mieux", on a du voir les choses en grand pour cette édition : 350 festivaliers, une extension de bar, 1700 litres de bières, 2 douches, 4 WC - dont une spécialement pour les filles -, 1 000 œufs dans la cuisine, des animations et des artistes quasi toutes les heures de vendredi à dimanche.

Bref, on va pas s'ennuyer.

Malgré les quelques bâtons dans les roues qu'on nous a glissés et une météo peut prometteuse, l'amour de la teuf et la motivation des Opalien·ne·s a pris le dessus. Le festival a bien lieu

La teuf vaincra.


Cette année, ce n'est pas chez le voisin (et encore moins la voisine) que l'herbe est plus verte ; c'est à Opal.

Malgré les quelques bâtons dans les roues qu'on nous a glissés et une météo peu prometteuse, l'amour de la teuf et la motivation des Opalien·ne·s a pris le dessus. Le festival a bien lieu. L'amour a vaincu.

Surtout qu'à cette édition, le festival monte d'un cran : 350 festivaliers, une extension de bar, 1700 litres de bières, 2 douches, 4 WC - dont une spécialement pour les filles -, 1 000 œufs dans la cuisine, des animations et des artistes quasi toutes les heures de vendredi à dimanche et surtout, plein de bêtises.

Bref, on va pas s'ennuyer (comme si ça avait déjà été le cas).